Partout sur le continent européen, les forces de l’ordre (police, l’armée, garde républicaine…) ne veulent plus plaisanter avec les personnes porteuses du virus COVID19. Après la phase de sensibilisation, la population est astreinte au confinement domiciliaire sous peine de sanctions.
Or, les sanctions varient d’un pays à l’autre. Le montant des amandes afflue et fluctue en fonction de la ville où se trouve la personne fautive.
Ainsi, la police norvégienne a infligé une amende de 20.000 couronnes, soit 1.650 euros, à une personne diagnostiquée porteuse du nouveau coronavirus qui avait rompu son isolement pour se rendre à une fête le week-end dernier.
Pour le non-respect du confinement :
La France exige 135€, l’Italie 206 euros, l’Espagne entre 300 à 600 euros. En Autriche c’est 3600 alors qu’en Norvège la personne doit payer 1 250 euros (fuite vers une résidence secondaire). La Belgique accélère un peu plus la cadence en octroyant une amende de 4 000 € et 3 mois de prison.
En outre, le pays comme le Taïwan, la personne fautive sera punie de 30,000 euros et son nom sera publié comme personne malade du coronavirus. La république fédérale de la Russie vous mettra en prison pour 5 ans sans liberté conditionnelle.
La Roumanie punira de 15 ans de prison tout citoyen dont son comportement incivique aura causé la mort d’un citoyen.
Pour la Corée du Nord, un tel comportement est puni par la peine de mort.
La rédaction