Chaque année, on organise diverses activités pour parler de la terre. Ce 22 avril, cette célébration mondiale est à son cinquantième anniversaire. Cependant, COVID-19 par ici, Coronavirus par là, le Jour de la Terre en est quasiment éclipsé dans le calendrier des gens.
La dérèglementation climatique est proche du point de non-retour et il y a urgence à agir, martèle l’ONU, à l’occasion de cette 50e journée mondiale de la Terre. Nous devons agir de manière décisive pour protéger notre planète, à la fois du coronavirus et de la menace du dérèglement climatique, prévient Antonio Guterres.
Si les regards se tournent surtout vers la crise sanitaire en ce moment, la question écologique et la Covid-19 constituent deux urgences simultanées, avance la militante suédoise Greta Thunberg. La crise climatique nous touche tout autant estime-t-elle.
Le confinement a laissé la nature reprendre ses droits dans les grands centres urbains, mais si les habitudes ne changent pas une fois passée cette période, les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre sembleront alors hors de portée.
La rédaction